La Harpe… notre Passion !

Des témoignages des membres de Harpissimo Québec

Heavenly Harp

Little did I imagine that ten years ago I would start playing the harp, let alone be playing with a harp choir. Thanks to my husband’s dream of building a harp, I started playing a little 19-string lap harp. He made the frame from a walnut tree that my father grew. I wish my father had lived to see it. In any case it was a blessing that I was able manage it physically since  I had to give up the piano because of my arms. I thought  I would never make music again.

Music has always been a big part of my life, first when I was growing up and then as an adult. I started piano lessons at the age of eight following the traditional Royal Conservatory of Music path. Playing duets with my best friend, making music around the piano with others, playing at church, doing exams, band practice, choir practice, starting to teach piano were a regular part of my life. When I went to see Two Pianos, Four Hands a number of years ago it was like looking back on my life. Our four children also appreciated the production as they were well into the same musical way of life. We laughed until tears rolled down our eyes as the father screamed at his son, “Do you or do you not want to take piano?” As our family grew we enjoyed making music together on various instruments, and as they left home, they would return inevitably  with an instrument under their arms. When they  were dating a standard family joke was “What does he/she play?”

For myself learning the harp has been like icing on the cake. I have connected with it in a way that I never did with the piano, except for accompanying. I didn’t think my  harp experience could get much better but then I found out about Harpissimo during a web search eight years ago. And now to make  harp music with kindred spirits is the stuff most can only dream of. What a pleasure!

Grace

 

Histoire d’amour

Mon histoire d’amour avec la harpe fut inspiré par le réputé chef d’orchestre Wilfrid Pelletier.  Dans les années ’40,  il offrait des concerts aux jeunes musiciens de la région de Montréal afin de les familiariser avec les divers instruments de l’orchestre.  Quand il nous présenta la harpe, même si au couvent on  enseignait que le piano, j’avais dès lors décidé que c’était l’instrument que je voulais apprendre.  La semence avait été plantée….

Plus d’un demi siècle s’écoula avant que je rencontre, en faisant du Tai Chi,  le directeur musicale de Harpissimo, Robin Grenon.  Grâce à sa patience et ses encouragements, mon rêve se réalisa et la petite semence de jadis a pu germer, grandir et se joindre au beau jardin de Harpissimo.

Monique Frontain

 À jamais Harpe

Dès mon jeune âge, à la hauteur de trois pommes, je fus enfoncé dans la musique. Ma famille écoutait et écoute encore, à chaque jour, toutes sortes de musique. Disco, Heavy Metal, Acoustique, Rap, Électronique, Classique,… tous ces genres musicaux ont influencé ma passion pour la musique. J’ai commencé par vouloir un Gong, mais après quelques années, j’ai acquis la passion d’un nouvel instrument, la harpe. Et cela grâce à un jeu Nintendo. Il y avait à chaque fois l’ouverture du jeu une magnifique  chanson et naturellement, en écoutant bien comme il faut, de quels instruments la chanson était composée, j’ai entendu le doux bruit des cordes de la harpe. Tout de suite, j’ai voulu m’en procurer une. Malheureusement, je disais à ma mère « Je veux une harpe Maman! » et celle-ci n’allait pas me payer un objet qui coutait cher juste pour le caprice d’un enfant d’avoir absolument quelque chose qu’il aime. Ça devait être aussi le fait que je n’aurais gratté les cordes que de temps en temps. Jusqu’au jour où j’ai dit clairement « Maman, je veux apprendre à jouer de la harpe. » C’était il y a environs 18 mois et dès mon premier cours, à la première seconde où j’ai placé mes mains sur les longs cheveux de mon bel instrument pour y jouer quelques notes, j’ai su qu’il sera longtemps entre mes bras. Me voilà maintenant dans un splendide groupe d’harpistes après des mois de bonheur auprès de ma belle harpe Gabryèle.

Kalahan Gourdeau (15 ans)
2005

Ma rencontre avec la harpe

La harpe a toujours été présente dans mon paysage musical. Sa sonorité éthérée en fines gouttelettes fut une source de grand bonheur. J’étais cependant plus attirée par le chant choral qui me permettait d’apprivoiser et de vivre la musique.

Puis… un jour… la vie m’a laissé des indices mais je ne les voyais pas. Ce fut d’abord deux médaillons en forme de lyre incrustés dans la maçonnerie d’une maison nouvellement acquise. Ce fut ensuite l’achat de tentures où la lyre y était encore présente. Certains anges de ma collection portaient, bien sûr, une lyre! La harpe, la lyre son ancêtre, autant de signes ignorés. Ainsi, la vie, cette patiente messagère, a décidé d’insister. Voici comment elle a procédé :

Je fus invitée à un concert paroissial un dimanche soir d’hiver, la veille d’un incontournable lundi et ce, à 24 kilomètres de chez moi. Le duo d’harpistes ne se produisait que ce soir là. La valse des hésitations s’est donc mise à tourner… 1,2,3, j’y vais 1,2,3, je reste. La raison ayant parfois de mystérieux coups de cœur, je me retrouvai dans la salle bien avant le début du concert!

Les premières notes s’envolèrent et ce fut un pur ravissement, un moment magique. Gisèle Guibord, Robin Grenon et… Pachelbel venaient d’ouvrir la voie d’une belle aventure et ils furent les complices d’un hasard qui n’en n’était pas un.

J’étais conquise !

Andrée Villecourt
Juillet 2006

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